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L’API a tenu son Assemblée Générale annuelle 2018 le mardi 6 mars 2018 au Residence Palace, sous la présidence de Tom Weingärtner, président de l’API. Il y avait environ vingt-cinq membres présents.

  1. Des activités de l’API: Le secrétaire général Hans de Bruijn à donné un aperçu des activités de l’API en 2017, tel que présenté dans le rapport annuel envoyé à tous les membres, avec des commentaires supplémentaires du président Tom Weingärtner. L’accent a toujours été mis sur les relations avec les institutions européennes. API rencontre régulièrement les services des porte-parole respectifs et tente d’améliorer leurs pratiques de communication. Le succès n’est pas garanti, cependant, a déclaré le président. Il y a eu encore des critiques sur les pratiques d’accès au Parlement européen, que l’API va à nouveau aborder.

  2. Elections: L’assemblée a élu un nouveau vice-président pour succéder à Nagayo Taniguchi, arrivé au terme de son second et dernier mandat de deux ans. Il y avait deux candidats, Eric Maurice et Martin Alasor. Ce dernier a toutefois retiré sa candidature sur place, après quoi Eric Maurice (rédacteur en chef d’EUObserver) a été élu à l’unanimité et par acclamation comme vice-président. Nagayo Taniguchi restera trésorier et membre du Bureau API. Thomas Friedrich a été réélu à main levée pour un nouveau mandat de deux ans en tant que membre libre du Conseil de l’API, avec quinze voix pour, trois contre et deux abstentions. Trois membres absents ont voté par procuration. L’assemblée a approuvé sans vote la décision du Conseil de l’API de créer un siège au Conseil pour un représentant des medias audiovisuel, le caméraman belge Olivier Vandersleyen.

  3. Comptes Annuels: L’assemblée a approuvé les comptes annuels pour 2017 et le rapport des commissaires (Hajo Friedrich, Raf Casert) qui n’ont trouvé aucune anomalie dans les documents et tableaux présentés. La décharge était donc donnée. L’assemblée a également approuvé le projet de budget pour 2018. Le trésorier Nagayo Taniguchi a donné un aperçu de la situation financière de l’API, qui est solide. Il y avait un déficit de € 5349,30 en 2017 contre un excédent de € 4397,91 en 2016. Ceci est dû à un coût de location plus élevé pour le bureau de l’API causé par un nouveau calcul en 2017, alors qu’il y avait aussi une écriture de € 5500 de dépenses du Fonds de Solidarité, et un avance de 800 € pour le nouveau livret API. Pour cette raison, le budget de l’API pour 2018 est un peu inférieur à celui de l’année dernière, même avec les dépenses restantes prévues pour le livret de l’API et une affectation pour la refonte nécessaire du site Web de l’API. Jusqu’a aujourd’hui 311 API-membres ont payé leurs frais d’adhésion, avec 30+ encore à payer. API vérifiera si les contributions au Fonds de Solidarité peuvent être déductibles d’impôt. Il y a eu des remarques sur les coûts élevés de gestion de plusieurs comptes bancaires. Le Bureau a été invité à se pencher sur la réduction des coûts bancaires. Le bureau de l’API obtiendra bientôt un terminal bancaire pour les paiements par carte.

  4. La cotisation à l’API est de nouveau confirmée à 120 € pour les membres employés et à 70 € pour les indépendants et les retraités actifs.

  5. Fake News: L’assemblée a tenu une discussion sur les récents développements autour de Fake News. La Commission européenne et le Parlement européen ont mis en place des groupes de travail pour étudier le phénomène et des mesures qui peuvent être prises pour le contrer. Le rôle que l’API peut jouer dans cette discussion n’est pas clair. Le sentiment général de l’assemblée est que l’API devrait rester à l’écart des initiatives qui semblent conduire les institutions européennes à juger si des nouvelles sont «réel» ou non. Des critiques ont été formulées à l’encontre du site EUvsDISINFO, qui a publié une liste de centaines d’incidents perçus comme faux, alors qu’il a déjà été établi que bon nombre de ces allégations étaient incorrectes, ce qui portait atteinte à la réputation des médias concernés. Il y a déjà des appels des États membres et du PE à mettre fin à ce site EuvsDISINFO. L’API a le droit légitime de demander quels critères seront utilisés par les groupes de travail et d’être informé des mesures prises par les institutions européennes dans ce processus. La procédure doit être transparente. En attendant, l’API devrait exhorter les différents services de porte-parole à s’abstenir d’utiliser le terme «fake news» pour signaler des choses qu’ils n’aiment pas. Utiliser ce terme comme gimmick délégitime notre travail (EM).

  6. Points divers: à la demande de la Commission européenne, il y aura une discussion avec les institutions sur les critères d’accréditation pour les blogueurs. Leur statut est maintenant peu clair.

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