Jeudi 24 octobre, nous avons célébré le 40e anniversaire de Martine Joos en tant que secrétaire de l’Association Internationale de la Presse. En octobre 1979, elle a commencé à travailler pour l’API-IPA. Au cours de ces quatre décennies, Martine a toujours été au centre de l’association. Elle a été et reste la source d’informations la plus précieuse pour des milliers de correspondants étrangers à Bruxelles, qui sont passés par son bureau à l’IPC pour devenir membre de l’API, obtenir de l’aide pour les accréditations ou des conseils pour s’établir en Belgique et faire face aux nombreuses institutions et bureaucraties locales.
Des membres actuels et anciens du Conseil de l’API, des journalistes-membres, des fonctionnaires européens et des représentants syndicaux se sont réunis au Residence Palace pour célébrer avec Martine et son mari Robert. « Nous sommes ici aujourd’hui pour te remercier pour tout ce que tu as fait pendant ces quatre décennies pour l’API et pour chaque correspondant qui a frappé à votre porte », a déclaré la présidente de l’API, Katalin Halmai, dans son discours. « Même Boris Johnson, parmi eux , si je ne me trompe pas…? »
Martine était et est le coeur de l’association. Sa mémoire est légendaire. Katalin Halmai a félicité Martine pour son souvenir des journalistes, même des années et des années après leur départ de Bruxelles, avec tous les détails sur leur lieu de résidence et pour qui ils travaillaient. « API cesserait tout simplement d’exister sans vous. Sans vos connaissances, votre dévouement, votre loyauté », a déclaré Halmai.
Martine elle-même disait qu’au cours de ces 40 années, elle avait toujours aimé travailler pour l’API, ne passant presque jamais une journée et appréciant le contact avec des journalistes du monde entier. « J’ai voyagé partout dans le monde, sans quitter mon bureau », a-t-elle déclaré. Au cours de ces 40 années, elle a travaillé avec 14 présidents de l’API et trois secrétaires généraux. Quatre anciens présidents depuis les années nonantes étaient à la réception.
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Martine écoute le discours de la présidente de l’API, Katalin Halmai.
PHOTO © Thierry Monasse
