API Concerned About Threats To Press Freedom

The International Press Association (API-IPA), as representative of the Brussels based foreign correspondents, is deeply concerned about recent threats to the freedom of the press and the freedom of expression in several European countries. 

Journalists have a duty not to refrain from politically sensitive or critical questions. "Correspondents who asked last week for comments from the European Commission about the situation in Poland, were fully entitled to do so. Any intimidation on this ground is unacceptable", says API-president Tom Weingärtner.

No person or authority has the right to demand that journalists only ask 'good' – read: politically correct – questions. Public criticism is one of the foundations of democracy. API-IPA stands up for these rights for all journalists, without distinction, in Brussels and elsewhere in the world.

API-IPA welcomes the statement from European Commission's first vice-president Frans Timmermans in relation to the recent Polish case. (see https://tinyurl.com/ydysz7sx). But we urge the European Commission to exercise to the fullest its duties and powers as guardian of the treaties. This means: to assertively defend and uphold the right to freedom of expression and of opinion, without any interference by public authority, as laid down in art. 11 of the EU Charter of Fundamental Rights (https://tinyurl.com/hqu2ot3)

The European Commission should therefore speak out forcefully time and time again whenever these principles are undermined by governments or institutions, whichever and wherever they may be.


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L'API S´Inquiète Des Menaces Sur La Liberté De La Presse

L'Association de la Presse Internationale (API-IPA), en tant que représentante des correspondants étrangers basés à Bruxelles, est profondément préoccupée par les menaces récentes à la liberté de la presse et à la liberté d'expression dans plusieurs pays européens.

Les journalistes ont le devoir de ne pas éviter des questions politiquement sensibles ou critiques. "Les correspondants qui ont demandé à la Commission Européenne la semaine dernière de commenter la situation en Pologne ont pleinement le droit de le faire. Toute intimidation à ce sujet est inacceptable", a déclare Tom Weingärtner, président de l'API.

Aucune personne ou autorité n'a le droit d'exiger que les journalistes posent seulement des 'bonnes' questions - c.a.d politiquement correctes. Le droit de critiquer publiquement est l'un des fondements de la démocratie. L´API-IPA défend ces droits pour tous les journalistes, sans distinction, à Bruxelles et ailleurs dans le monde.

L´API-IPA se félicite de la déclaration du premier Vice-Président de la Commission Européenne, Frans Timmermans, au sujet du cas polonais récent (voir https://tinyurl.com/ydysz7sx). Cependant, nous demandons avec insistence à la Commission Européenne d'exercer pleinement ses fonctions et ses pouvoirs en tant que gardienne des traités. Cela signifie de défendre de manière affirmée le droit à la liberté d'expression et d'opinion, et ceci sans ingérence de l'autorité publique, conformément à l'article 11 de la Charte des Droits Fondamentaux de l'UE (https://tinyurl.com/hqu2ot3)

Nous attendons de la Commission Européenne qu´elle s´exprime chaque fois que ces principes sont compromises par des gouvernements ou des institutions, indépendamment de qui il s´agit et d´où ils se trouvent.

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API Praises EWG-Head Thomas Wieser

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